Nous reproduisons ici des extraits d’un article du Monde, dont nous vous recommandons la lecture payante sur leur site.
Le président chinois a été accueilli en majesté au Vietnam, en Malaisie et au Cambodge, des partenaires commerciaux et diplomatiques importants pour Pékin face à la pression américaine.
Accueilli par le roi Norodom Sihamoni à l’aéroport de Phnom Penh, au Cambodge, jeudi 17 avril au matin, le président chinois, Xi Jinping, a achevé sa tournée de trois pays en Asie du Sud-Est dans ce petit royaume de 17 millions d’habitants dont il a déclaré dans un communiqué avant son arrivée, que « pour moi, c’est comme si je me rendais chez un bon ami ». Sa dernière visite datait de 2016 et le protocole, à l’époque, se limitait au vice-premier ministre et quelque prince et princesse.
Depuis son départ de Chine, le 14 avril, Xi Jinping a voyagé en majesté, sûr de son importance. Au Vietnam, d’abord, puissance économique montante de première importance, pays communiste frère dont Pékin ne connaît que trop bien le farouche sentiment d’indépendance, il fut reçu à l’aéroport de Hanoï par le chef de l’État, Luong Cuong. Outre le train chinois reliant sa propre frontière à Haïphong, ville portuaire du nord du pays, déjà approuvé début 2025 par le Vietnam, Hanoï a encouragé la Chine à accroître la coopération et les investissements au Vietnam de son groupe d’aéronautique Comac. La 5G et l’intelligence artificielle ont également figuré au menu des accords de coopération bilatéraux.
L’intégralité est à retrouver sur le site lemonde.fr.
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