Gavroche a sélectionné pour vous quelques nouvelles saillantes au Cambodge durant cette semaine écoulée. Un survol de l’actualité indispensable pour tous ceux qui s’intéressent à ce pays d’Asie du Sud-Est.
France
L’exposition « Bronzes royaux d’Angkor : Un art du divin » a été inaugurée à Paris par les ministres Phoeurng Sackona et Thani Mohamed-Soilihi, en présence de la présidente du musée Guimet, Yannick Lintz. Présentée jusqu’au 8 septembre, elle réunit plus de 200 œuvres, dont 126 prêtées par le Musée national du Cambodge. Fruit d’une collaboration franco-cambodgienne, l’exposition met en lumière le Vishnu couché du Mebon occidental, chef-d’œuvre du XIe siècle restauré en France. Cette initiative majeure illustre les efforts conjoints pour préserver et valoriser le patrimoine angkorien à l’échelle internationale.
Dans le cadre de la commémoration des 50 ans de la prise de pouvoir des Khmers rouges à Phnom Penh, l’Ambassade de France et l’Institut français du Cambodge organisent une rencontre exceptionnelle intitulée « Avril 1975 : Derniers jours à Phnom Penh – Regards croisés de François Bizot et Roland Neveu ». Les deux témoins partageront leur expérience du 17 avril 1975, marquée par l’effondrement de la capitale et les trois semaines de huis clos qui ont suivi. Cet échange se tiendra le 7 mai à 18h30 à l’Institut français. L’entrée est libre, mais l’inscription est requise pour accéder à l’auditorium. L’événement se déroulera en français et en khmer.
Politique, Diplomatie
L’Union européenne a renouvelé son appui à la pêche continentale durable au Cambodge à travers son programme CAPFISH-Capture, mis en œuvre par l’Administration des Pêches (FiA) avec l’appui technique de la FAO. Financé par l’Instrument de coopération au développement de l’UE, ce programme vise un développement inclusif et résilient au changement climatique du secteur halieutique. L’assistance technique de la FAO, débutée en 2019, est prolongée jusqu’en décembre 2025.
À l’occasion de la Journée internationale des travailleurs, le Premier ministre cambodgien Hun Manet a réaffirmé ses ambitions économiques, promettant la création d’emplois et de meilleures conditions de travail dans un climat de stabilité politique. Il met en avant des progrès dans la résolution des conflits du travail et un engagement en faveur des droits syndicaux, dans le cadre de sa stratégie visant à faire du Cambodge un pays à revenu élevé d’ici 2050.
La Cour suprême cambodgienne a confirmé, mercredi 30 avril, le refus de libération sous caution des cinq militants de l’organisation écologiste Mother Nature Cambodia, incarcérés depuis juillet 2024. Condamnés pour complot contre l’État et outrage à la monarchie, ils avaient écopé de peines allant de six à huit ans de prison. Trois des accusés étaient présents à l’audience ; les deux autres ne se sont pas présentés. Le jugement confirme celui rendu en appel en février.
Le Cambodge a célèbré ce 30 avril 2025 ses 26 ans au sein de l’ASEAN, qu’il avait intégrée en 1999 en tant que 10e membre. Passé d’un pays sortant de conflits à un contributeur actif, il voit aujourd’hui l’association comme un pilier central de sa politique étrangère. Selon le ministère des Affaires étrangères, Phnom Penh œuvre à une ASEAN inclusive, fondée sur des règles et centrée sur les populations. Pour So Naro, ministre délégué chargé des affaires de l’ASEAN, cette adhésion a offert au pays légitimité régionale, égalité dans la prise de décision, et ouverture économique après des décennies d’isolement.
Le ministre cambodgien de la Santé, Chheang Ra, a exhorté les parties prenantes à renforcer le système de réglementation des médicaments et vaccins, dans le but de réussir l’évaluation de l’OMS prévue en 2027. Cette évaluation vise à combler les lacunes actuelles pour garantir qualité, sécurité et efficacité des produits médicaux. Le ministre a souligné leur rôle crucial dans le renforcement du système de santé et l’accès à une couverture sanitaire universelle.
Le Premier ministre cambodgien Hun Manet a vivement critiqué les figures de l’opposition appelant l’Union européenne à accentuer la pression politique sur Phnom Penh. Il a jugé irresponsables ces démarches menées, selon lui, au détriment des travailleurs cambodgiens, alors que le pays fait déjà face à des incertitudes économiques et aux effets potentiels des tarifs douaniers américains. Citant Mu Sochua, Kim Sok et Sam Rainsy, il les accuse de compromettre le développement national pour des gains politiques à l’étranger.
Le président du Sénat cambodgien, Hun Sen, a appelé à renforcer les échanges économiques avec le Vietnam, affirmant que le Cambodge devait privilégier les marchés voisins dans un contexte de guerre commerciale mondiale. À l’issue de sa rencontre avec le Premier ministre vietnamien, Pham Minh Chinh, il a souligné que la coopération devait désormais être économique plutôt que militaire. Objectif affiché : atteindre 20 milliards de dollars d’échanges bilatéraux. En 2024, ceux-ci se sont élevés à 7,8 milliards, dominés par les importations vietnamiennes. Les deux pays ont signé un protocole d’accord pour stimuler ce commerce sur la période 2025-2026.
À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Premier ministre cambodgien Hun Manet a salué les progrès réalisés dans le pays en matière de liberté médiatique. Il affirme que le gouvernement encourage un climat propice à la diffusion d’informations responsables et à la transparence. Pourtant, selon Reporters sans frontières (RSF), le Cambodge recule de dix places dans le classement mondial de la liberté de la presse, passant de la 151e à la 161e position sur 178 pays en 2025. Une contradiction pointée par plusieurs observateurs, malgré les résultats d’un sondage national affirmant que plus de 80 % des journalistes cambodgiens estiment que la situation s’est améliorée.
Alors que Phnom Penh réaffirme l’ouverture du port de Ream à toutes les nations, des experts en affaires militaires expriment leurs préoccupations quant à l’influence grandissante de la Chine. Après l’inauguration du site rénové avec l’aide chinoise, le Japon a été le premier pays à y faire accoster deux de ses navires de guerre, saluant le geste comme un signe de transparence. Peu après, des manœuvres conjointes ont été menées entre la marine cambodgienne et l’Armée populaire de libération de Chine. Des analystes régionaux estiment que les infrastructures financées par Pékin — pour un montant dépassant les 10 milliards de dollars dans le cadre de la « Ceinture et Route » — pourraient servir à des usages militaires dissimulés sous des objectifs civils. Le port, situé face au golfe de Thaïlande, est vu comme une pièce stratégique dans le dispositif maritime chinois.
Le président du Sénat du Cambodge, Hun Sen, conduira une délégation en Indonésie pour une visite officielle du 5 au 7 mai 2025. Après, il poursuivra ses visites officielles en République Démocratique de Timor-Leste du 7 au 9 mai 2025, à l’invitation de l’Excellence José Ramos-Horta, président de la République Démocratique de Timor-Leste.
Selon Mu Sochua, présidente du Khmer Movement for Democracy, la récente visite du président chinois Xi Jinping a mis en évidence les fragilités économiques du Cambodge, un pays profondément dépendant des investissements chinois et des industries à bas salaires. Elle avertit que l’imposition éventuelle de taxes américaines pourrait aggraver cette situation, menaçant ainsi des centaines de milliers d’emplois, notamment dans les secteurs agricoles et textiles. Mu Sochua souligne l’urgence de réformes économiques pour soutenir les travailleurs et les petites entreprises, tout en s’attaquant aux inégalités de genre, afin de préserver la stabilité du pays et éviter son isolement sur la scène internationale.
Économie
Le gouvernement cambodgien a annoncé la tenue, à la mi-mai à Washington, de discussions bilatérales avec les États-Unis pour tenter d’obtenir un assouplissement du tarif douanier de 49 % imposé par Washington aux exportations cambodgiennes depuis avril dernier. Selon un communiqué officiel, une délégation conduite par Sun Chanthol, vice-président du Conseil pour le développement du Cambodge, et Cham Nimul, ministre du Commerce, s’est récemment entretenue à Phnom Penh avec Sarah Ellerman, représentante adjointe américaine au commerce pour l’Asie du Sud-Est et le Pacifique. Ces échanges visent à préparer une session de négociation prévue les 14 et 15 mai. En parallèle, le Cambodge prévoit la mise en œuvre, dès le 12 mai, de nouvelles mesures de transparence sur l’origine de ses produits destinés au marché américain. Phnom Penh espère ainsi enrayer les effets économiques jugés « dévastateurs » par la Chambre de commerce américaine au Cambodge, qui alerte sur un risque de pertes massives d’emplois et de fuite des capitaux.
Le ministère des Mines et de l’Énergie, avec l’appui de l’UNCDF et du PNUD, a lancé une initiative visant à renforcer l’efficacité énergétique dans un secteur qui représente plus de la moitié de la consommation électrique du pays. Financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les ODD, le projet entend lever les freins réglementaires, comportementaux et financiers. Il s’inscrit dans le cadre de la politique nationale 2022-2030, qui vise une réduction de 19 % de la consommation énergétique finale d’ici 2030.
Le département du Trésor américain, via le réseau FinCEN, a proposé d’exclure le groupe cambodgien Huione, dirigé par Hun To, du système financier des États-Unis. FinCEN accuse l’entreprise d’avoir blanchi au moins 4 milliards de dollars entre août 2021 et janvier 2025, notamment pour le compte de hackers nord-coréens et d’organisations criminelles actives dans la cyberfraude et les arnaques sentimentales en Asie du Sud-Est. L’enquête évoque aussi des liens avec des opérations illégales en ligne impliquant des ressortissants chinois. En mars dernier, la Banque nationale du Cambodge avait déjà retiré la licence de Huione Pay pour non-conformité réglementaire.
Le ministère cambodgien de l’Agriculture et l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) ont signé, le 28 avril, un accord de 12 millions USD pour renforcer l’agriculture résiliente au climat d’ici à 2030. Le projet vise à former les agents agricoles communaux afin d’aider les agriculteurs à s’adapter aux effets du changement climatique. Bien que le secteur agricole ne représente plus que 22 % du PIB (contre 43 % en 1996), il reste crucial pour la sécurité alimentaire et l’économie rurale du pays, malgré une faible productivité et une forte vulnérabilité.
Le ministère de l’Économie et des Finances a lancé, le 23 avril 2025, une stratégie de développement des services électroniques pour les entreprises (2025-2028). Objectif : numériser 80 % des procédures administratives les plus courantes d’ici 2028 afin de simplifier les démarches, réduire les coûts et renforcer l’attractivité du pays. Cette réforme s’inscrit dans un contexte de diversification économique et de préparation à la sortie du statut de PMA, sur fond de tensions commerciales avec les États-Unis.
L’ambassadeur de Malaisie au Cambodge a présidé le 30 avril le lancement officiel de la délégation de l’ASEAN Unity Drive 2025 lors de son passage au Cambodge, dans le cadre de son parcours visant à promouvoir la durabilité dans la mobilité. Organisé par l’Institut malaisien de l’automobile, de la robotique et de l’IoT (MARii), une agence du ministère malaisien de l’investissement, du commerce et de l’industrie (MITI), l’AUD2025 couvre plus de 9 000 kilomètres à travers neuf nations de l’ASEAN. Il met en vedette des véhicules électriques, notamment les Proton e.MAS 7 et Proton X Series. L’initiative vise à promouvoir une connectivité accrue de l’ASEAN, des solutions de transport durables et une coopération transfrontalière dans les technologies d’innovation et de mobilité.
Sur plus de 120 usines identifiées pour l’installation de systèmes automatisés de surveillance de la pollution au Cambodge, 24 ont déjà achevé le processus, représentant environ 20 % du total. Cela indique un progrès initial dans les efforts du pays pour une meilleure surveillance environnementale. Le porte-parole du ministère de l’Environnement, Khvay Atitya, a précisé que l’installation de ces dispositifs est obligatoire en vertu de l’article 178 du Code de l’environnement et des ressources naturelles. Ce système fournira des données en temps réel sur les rejets des usines directement au ministère, permettant une détection rapide en cas de pollution des sources d’eau publiques.
Société
À l’occasion de la Journée internationale des travailleurs, une enquête de ProPublica révèle que des ouvriers de deux usines de confection à Phnom Penh, produisant notamment des casquettes pour enfants pour le compte de Nike, subissent des conditions de travail éprouvantes, parfois dangereuses. Les usines concernées, Yashili Garment et Y&W, appartenant à des groupes chinois, sont accusées de ne pas respecter les engagements de Nike en matière de droits des travailleurs. L’article décrit des températures suffocantes allant jusqu’à 40°C, des malaises fréquents, des journées de 10 à 14 heures sans climatisation, et des salaires très bas. Interrogée, la direction de Nike affirme pourtant que les travailleurs y seraient payés jusqu’à deux fois le salaire minimum – une affirmation contredite par l’enquête, selon laquelle cela ne représenterait en réalité qu’environ 1 % du chiffre d’affaires.
Le 30 avril, la Cour suprême du Cambodge a rejeté une demande de libération sous caution de six militants écologistes affiliés à l’organisation Mother Nature, accusés de complot contre l’État et d’insulte au roi. Le juge président Kong Srim a confirmé la décision du tribunal municipal de Phnom Penh, qui avait condamné dix membres du groupe à des peines de prison de six à huit ans et à une amende de 2 500 dollars chacun en juillet 2024. Les six militants actuellement incarcérés sont Sun Ratha, Long Kunthear, Phuong Keorasmey, Yim Leang Hy et Thon Ratha, tandis que l’activiste espagnol Alex Gonzalez-Davidson reste en liberté. Bien que les accusés aient fait appel de leurs condamnations, l’affaire n’a pas encore été examinée.
À l’occasion de la Journée internationale des travailleurs, le 1er mai, plus de 60 organisations de la société civile, associations et syndicats ont appelé le gouvernement cambodgien à résoudre efficacement 13 points jugés prioritaires, notamment la restauration des libertés fondamentales, la liberté syndicale et la mise en œuvre des recommandations de l’Union européenne afin de récupérer 20 % des préférences commerciales EBA. Malgré les promesses du Premier ministre Hun Manet en faveur d’emplois décents et bien rémunérés, les ONG dénoncent des salaires toujours bas, des conditions de travail précaires et des violations persistantes des droits syndicaux. Environ 2 500 personnes ont participé à des rassemblements pacifiques à Phnom Penh pour faire entendre ces revendications.
Le chef du Comité des moines bouddhistes de Phnom Penh a récemment émis une directive interdisant aux moines bouddhistes de fréquenter les zones de loisirs et de divertissement de la capitale. Vénérable Khim Sorn, chef du secrétariat des moines, a expliqué que cette mesure visait à préserver la dignité de l’ordre monastique et à renforcer le respect du Dharma. La directive répond à des préoccupations croissantes concernant le comportement de jeunes moines vus régulièrement dans des cafés, des lieux de divertissement ou des jardins publics, souvent jusqu’à tard dans la soirée. Désormais, les moines sont interdits de solliciter l’aumône ou de fréquenter des marchés, chantiers de construction et autres lieux publics, afin de protéger l’honneur du bouddhisme.
Le 29 avril, le Cambodge a lancé une initiative de 10 millions de dollars pour promouvoir son programme national d’alimentation scolaire, soutenu par la Corée du Sud et mis en œuvre en collaboration avec le ministère cambodgien de l’Éducation et le Programme alimentaire mondial. Ce programme fournira des repas chauds et nutritifs à 133 300 enfants dans 428 écoles primaires entre 2025 et 2029. Selon le vice-Premier ministre Hang Chuon Naron, cette initiative vise à renforcer l’accès à une alimentation saine tout en soutenant un système éducatif plus solide et résilient. L’approche locale, en s’approvisionnant auprès de petits exploitants agricoles, contribue à stimuler les économies locales et à renforcer les systèmes alimentaires, tout en offrant un filet de sécurité aux familles vulnérables. Le programme inclut également des actions de renforcement des capacités et de développement institutionnel pour garantir sa qualité et sa durabilité.
Tourisme, Culture
Une étude récente menée par NatureLife Cambodge a confirmé la présence de 40 Sarus Cranes dans le paysage protégé d’Anlong Pring, un sanctuaire essentiel pour cette espèce en danger critique d’extinction. Réalisée les 29 et 30 avril, l’enquête révèle une population stable, conforme aux chiffres de 2024. Ce site demeure crucial pour les Sarus Cranes, notamment de décembre à mai, période où ces oiseaux migrateurs affluent pour se nourrir. En collaboration avec le ministère de l’Environnement, NatureLife Cambodge soutient l’agriculture durable dans la région, notamment à travers le programme « riz des grues », qui permet aux agriculteurs de cultiver de manière à préserver les zones humides. Ces initiatives favorisent la coexistence entre l’agriculture et la conservation, soutenant ainsi la survie de cette espèce rare et fragile.
Le 30 avril, l’ambassadeur du Royaume-Uni au Cambodge, Dominic Williams, a déclaré que le Cambodge est une destination touristique très sûre pour les voyageurs internationaux. Ces propos ont été tenus lors d’une réunion avec le ministre du Tourisme, Huot Hak, visant à renforcer la coopération bilatérale dans le secteur. Le Cambodge est de plus en plus perçu comme un pays stable, doté d’infrastructures en plein développement, ce qui attire les visiteurs du Royaume-Uni et d’autres pays. Les discussions ont porté sur des initiatives pour promouvoir le Cambodge au Royaume-Uni, encourager les vols directs et soutenir le tourisme durable et l’écotourisme. Les deux parties ont également abordé les investissements dans les infrastructures touristiques et la promotion du pays en tant que destination cinématographique internationale.
L’Office national pour Preah Vihear (NAPV) a annoncé le lancement d’un projet triennal de conservation et de restauration du temple Krahom, situé sur le site du patrimoine mondial de Koh Ker, financé par l’Alliance pour la protection internationale du patrimoine (ALIPH). Le projet, qui s’étendra de 2025 à 2028, se concentrera sur la restauration de ce temple en briques rouges, construit sous le règne du roi Jayavarman IV au 10e siècle. Les travaux comprendront l’enlèvement des terres excavées, la restauration de la structure selon des normes internationales, ainsi que la préservation du mortier intérieur et extérieur pour maintenir l’intégrité historique du temple. Ce projet vise à préserver l’édifice pour les générations futures, et bénéficie du soutien financier d’ALIPH.
Le 2 mai 2025, Khuong Sreng, gouverneur de Phnom Penh, a ordonné la construction de 40 nouvelles toilettes publiques et la rénovation partielle des berges de la célèbre « Walk Street » de Phnom Penh. Accompagné de fonctionnaires, de départements spécialisés et des autorités locales, le gouverneur a inspecté le site situé près des statues Techo Meas et Techo Yot, devant le Wat Onna Lom dans le district de Daun Penh, afin de garantir la bonne exécution du projet selon les normes techniques. Cette initiative vise à améliorer encore l’attractivité de ce lieu populaire.
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