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THAÏLANDE – CHRONIQUE : Ces farangs en dérive insolente

Date de publication : 21/04/2025
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contrôle de police Phuket

 

Une chronique siamoise et sociétale de Patrick Chesneau

 

Il est, en Thaïlande, des lieux où s’agglutinent par réflexe grégaire, les grandes foules des vacanciers allogènes et des bidochons frustes sinon outrecuidants.

 

Il est ici question de poches de surpopulation touristique favorisant l’éclosion de comportements frisant la dégénérescence sociale. Exhibée comme un titre de gloire.

 

L’actualité du Royaume est émaillée chaque semaine de ces faits divers même en été. Leurs auteurs viennent des quatre coins de la planète. Notons toutefois une forte présence européenne. En résulte un climat survolté propice aux racailles. Bagarres, rixes et incidents en pagaille.

 

Des bandes se forment, s’affrontent, sèment le désordre sur la voie publique et veulent en découdre. Composées d’ouailles perdues, sorties on ne sait trop comment de leurs lointaines zones urbaines périphériques supposées difficiles et sensibles. On peut les ranger dans la catégorie bas de plafond, ce qui est évidemment une circonstance aggravante. Un QI de volatile préhistorique compensée par une propension phénoménale à la brutalisation des rapports humains.

 

Au total, quelques centaines de Farang en pleine dérive insolente. Leurs faits et gestes abondent dans la provocation et l’irrespect vis à vis de la Thaïlande. Une grossièreté désormais notoire. Les bar girls sont les premières à en faire les frais mais il arrive régulièrement que les policiers, généralement respectés voire craints en Thaïlande, soient eux-aussi la cible de bouffées récurrentes d’agressivité.

 

Des énergumènes mal acclimatés peuvent transformer en un tournemain et une volée de coups de poing une villégiature ordinaire en équipée sauvage. Multipliant incivilités et délits. Du simple non port du casque à moto ou absence de permis, au vol d’essence dans une station service en passant par le refus de payer consommations et prestations en boîtes de nuit, quand ce n’est pas carrément un repas au restaurant.

 

Pour alourdir la note, il convient de signaler les vols à la tire de plus en plus fréquents. Le tout agrémenté d’une quantité impressionnante d’agressions. Les contrevenants issus d’horizons western évoluent en Thaïlande dans un total déni des réalités juridiques locales. Piétinant sans vergogne us et coutumes auxquels ils ajoutent, dans une grande indécence, la transgression de tous les codes culturels thaïs.

 

Des enclaves, en particulier, défraient la chronique de la violence transférée. On y croise une faune inquiétante régulièrement éméchée et déviante. Le folklore devient immanquablement nuisance. C’est particulièrement vrai à Phuket, notamment à Patong et sur Bangla Road, ainsi qu’à Pattaya. Endroits à fuir en attendant que les Thaïs fassent le ménage.

 

Déjà les autorités s’en émeuvent, mettent peu à peu en place des dispositifs de surveillance et de contrôle renforcé, tentent de coordonner leurs réponses visant à endiguer l’éclosion exponentielle des incartades les plus graves. Résultats pour l’heure mitigés.

 

Même la police touristique, dédiée aux étrangers, est débordée. Elle dispose d’effectifs et de moyens accrus quoique encore insuffisants.

 

Face à ces vagues de délinquance, quelle est l’attitude de la communauté nombreuse des expatriés et des retraités ?

 

Honte et indignation, d’abord. Colère également, car les fauteurs de troubles plombent la réputation des étrangers court ou long séjour, vivant dans leur environnement siamois sans la moindre anicroche. Venir en Thaïlande pour y semer heurts et désordre… quelle insigne inconvenance !

 

Patrick Chesneau

 

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5 Commentaires

  1. Il faut mettre des peines très fortes qui très vite seront connus de ces énergumènes qui par peur de représailles trop importantes iront mettre la pagaille dans d’autres pays.

    • C’est déjà en vigueur : on a récemment vu deux exemples largement médiatisés, avec les frères néo-zélandais et le Suisse de Phuket, tous deux rapidement expulsés vers leurs pays respectifs.

  2. Notre chroniqueur semble avoir été contaminé par les gouttes empoisonnées de Songkran. Victime d’énergumènes rassemblés en bandes en pleines « dérives insolentes », « disposées à en découdre » dans un océan d »‘incivilités et de délit »s, etc… Notre chroniqueur se laisse facilement emporter par les adjectifs qu’il réservait ordinairement au sourire thaï. Que lui est-il arrivé ? Une mutation ? La mutation Songkran ?
    Mais d’où viennent ces « barbares » ? Des steppes mongoles, descendants de Gengis Khan, des restes des hordes de Huns ? Non de l’Europe et leurs lointaines zones urbaines pour ne pas dire ces « territoires perdus de la République ».
    Ils « piétineraient » tous les « codes en vigueur » et plus encore ils les transgresseraient et qui plus est, dans une « grande indécence » jusque dans d’ « impressionnantes agressions ».
    Faisant le tour des bars et autres lieux de réjouissances, il est constaté qu’ils n’auraient aucun sens de l’économie monétaire refusant de payer. Des humains non, des volatiles préhistoriques peut-on lire… Une sorte de jurassic-park…
    La coupe serait pleine et que fait la police locale s’indigne t-on ? On a l’impression que notre chroniqueur hyper siamisé relaie les informations distillées en boucle sur des chaînes françaises qui déplorent l’impuissance de la police face aux mêmes populations et à leur submersion menaçante.
    Mais s’agit-il, pour notre chroniqueur des mêmes populations qu’il ne va pas jusqu’à nommer, du moins pas explicitement ?
    Mais suivez mon regard… Notre chroniqueur devrait plutôt s’interroger sur les méfaits d’un « sur-tourisme » que la fabrication de clichés à la fabrication et à la diffusion desquels notre chroniqueur peut-être contribue. Il pourrait en être fier pouvant caresser ainsi l’idée d’être lu. Mes commentaires réguliers l’attestent…

  3. Le GVT Thaï attend quoi exactement ? que les touristes respectueux ne viennent plus ? c’est simple, dès lors qu’un touriste semer le trouble, il suffit de l’expulser du pays, de le Black lister au minimum 10 ans et selon à vie, cela remettra certainement de l’ordre dans certaines stations balnéaires…

  4. Pays à fuir absolument. Tout ce qu’il y a dans les publicités pour la Thaïlande sont fausses. Ne vous laissez pas avoir.

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