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ASIE – FRANCOPHONIE: Parler français ou parler franglais ? L’Asie aussi se pose la question

Journaliste : Redaction
La source : Gavroche
Date de publication : 14/02/2019
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Dans une tribune bien sentie publiée à un mois de l’ouverture du salon du livre de Paris (15 au 18 mars 2019), l’essayiste libéral Gaspard Koenig met les pieds dans le plat et pose une question qui revient souvent en Asie: faut-il parler français ou franglais ? La langue française est elle assiégée par l’anglais, ou est-ce juste un moyen pour notre idiôme national de s’adapter et de résister ? En raison de notre étroite collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie, Gavroche se devait de poser la question…à ses lecteurs. Alors, prêt à participer à ce débat linguistique ?

 

Cette tribune est signée par l’essayiste Gaspard Koenig, animateur du think-tank « Génération Libre ».

 

Elle peut être retrouvée ici.

 

Au secours !

 

La langue française est en péril !

 

Le salon du livre, notre fief national, est envahi de termes anglo-saxons : littérature « Young Adult », « Live » ou « Bookroom » …

 

Il nous faut résister à l’assaut du « globish », clame le gratin artistico-littéraire dans une pétition parue dans Le Monde.

 

Sauf que ce nationalisme linguistique joue contre son camp.

 

Réfléchissons avant de brûler les hérétiques.

 

Les mots circulent : ce n’est pas l’État, mais l’usage qui les dissémine.

 

Avant l’anglais, c’était le français qui avait le monopole dans les sphères intellectuelles et culturelles internationales.

 

Et Tolstoï n’a pas été accusé de trahison pour écrire des passages entiers de Guerre et Paix en français.

 

« Quand on a confiance en soi, en sa capacité créative comme en sa destinée nationale, on ne redoute pas les influences étrangères. »

 

Au lieu de résister bêtement à l’envahisseur, trouvons des moyens ingénieux pour redorer le blason des livres en perdition.

 

Épousons le download, streaming, sharing et community building, invite Gaspard.

 

Le protectionnisme que préconisent nos intellectuels est un aveu de faiblesse.

 

Oui à la littérature française, non au souverainisme linguistique !

 

Réagissez, commentez, corrigez sur redaction@gavroche-thailande.com

 

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