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MALAISIE – LITTÉRATURE: «Kuala l’impure», plongée policière et humoristique dans les soutes de la Malaisie

Journaliste : Rédaction
La source : Gavroche
Date de publication : 31/05/2020
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La période actuelle, suite à l’épidémie de coronavirus, impose de venir en aide aux librairies et aux éditeurs qui se battent pour la littérature asiatique. Les vaillantes éditions GOPE font partie de ces éditeurs partenaires et amis de Gavroche. C’est donc avec un grand plaisir que nous vous présentons ici leur dernier roman: «Kuala l’Impure» signé Brian Gomez.

 

Une comédie des erreurs malaisienne digne d’un film de Tarantino…

 

Ce début d’année est malaisien chez les éditions Gope et, après Cette Malaisie lah !, nous vous proposons : Kuala l’impure, de Brian Gomez

 

Résumé
Terry Fernandez est un musicien raté en cavale. Lors de l’enterrement de sa vie de garçon, ses amis ont été assassinés. Il pense qu’il sera le suivant – et il soupçonne le ministre de l’Éducation d’être le commanditaire.

 

Ning Somprasong est une prostituée thaïlandaise qui, d’ordinaire, ne s’attire pas d’ennuis. Mais un soir, elle serre les dents plus qu’il ne le faudrait et se retrouve avec un sac contenant 18 millions de dollars – et de nombreuses personnes à ses trousses.

 

Terry et Ning doivent faire équipe pour sauver leur peau. La folle course-poursuite dans les rues de Kuala Lumpur entraîne aussi dans son sillage : un chauffeur de taxi qui voit des complots partout, un agent de la CIA, un terroriste dont la mission est d’éliminer les infidèles, un journaliste opportuniste, un policier corrompu et un proxénète dénommé Fellatio Lim qui va découvrir le vrai sens de son nom.

 

Bienvenue à Kuala l’impure, la nouvelle capitale de l’humour noir !

 

Brian Gomez

 

Journaliste, rédacteur publicitaire, écrivain, musicien et promoteur entreprenant de la scène musicale indé malaisienne, Brian est un touche-à-tout comme on les aime, doué mais cool. Avec un humour irrésistible, teinté de juste ce qu’il faut d’irrévérence, il révèle dans cette comédie tout à la fois tarantinesque et typiquement malaisienne, la situation politico-sociale de son pays où règne une hypocrisie qui peine à masquer non seulement la ségrégation raciale institutionnalisée, mais aussi l’homophobie, la corruption, les crimes impunis et les influences étrangères obscures…

 

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