Présente depuis plusieurs années en Asie du Sud-Est, Urgo, filiale du groupe Viva Sante, qui commercialise des produits de santé à destination du grand public et du milieu hospitalier, multiplie les actions caritatives à travers sa fondation pour lutter contre le diabète et le bec de lièvre en Thaïlande.
Soutenir la recherche et encourager le travail des acteurs du milieu scientifique, accompagner l’éducation et la prévention en matière de santé, tels sont les objectifs que s’est fixée la fondation Urgo. Une volonté se traduit par de multiples projets soutenant différentes causes à travers le monde. En Thaïlande notamment, la fondation soutient deux grands programmes : la chirurgie réparatrice du bec de lièvre et la lutte contre le diabète.
The Association of Plastic and Reconstructive Surgeons of Thailand (Association des chirurgiens plastiques de Thaïlande), par le biais de l’association Harelip, organise plusieurs voyages par an dans les hôpitaux de Bangkok et du pays pour soigner une pathologie qui touche beaucoup trop de familles : le bec de lièvre. Cette déformation de la bouche, en plus de son atteinte physique, affecte le quotidien du patient et sa vie sociale. C’est pourquoi l’association, avec le soutien de la fondation Urgo, s’emploie à aider un maximum d’enfants. En 2013, environ 350 malades ont ainsi pu être soignés. « Un véritable travail d’équipe est nécessaire. Les hôpitaux prêtent gracieusement les salles d’opération, les médecins travaillent bénévolement et la fondation Urgo aide à la logistique », précise Jérôme Besnard, représentant de Viva Sante en Thaïlande. L’association opère aussi les malformations congénitales ou consécutives à de graves brûlures.
Autre cause soutenue : les soins aux ulcères du pied diabétique. Le nombre de personnes en surpoids en Thaïlande ne cesse de s’accroître, provoquant ainsi une augmentation du nombre de diabétiques. L’ulcère du pied diabétique est l’une des conséquences les plus graves et des plus coûteuses de cette maladie.
Concernée, la fondation lutte contre cette pathologie par le biais de bourses qu’elle octroie à des spécialistes qui travaillent sur trois orientations : l’éducation du patient, la prise en charge à l’hôpital et la chirurgie et le suivi. « L’argent distribué doit être réinvesti dans une association ou un département médical pour la mise en place de ces projets », tient à préciser Jérôme Besnard.
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